Depuis que Sébastien nous l'a dévoilé à travers son blogue, j'ai mis la main sur une foule de trucs intéressants. Merci :o)



Sur la pointe des pieds
Bras dessus bras dessous avec son mobilier
Le filou avait filé
Hors-d’œuvres et canapés au plancher
L’air un peu décontenancé
Le cœur artichaudé
C’est la tête au parquet qu’elle s’était retrouvée
À la recherche du temps perdu
Des précieuses secondes soudainement disparues
Elle écoutait le tic-tac
De l’heure qui n’en finissait plus
L’âme échaudée par l’idée d’une incision sollicitée
Elle avait trouvé sa tasse de thé
À présent à moitié déversée
sur ce qu’il restait d’un repas bien arrosé
Le corps concassé, victime de sa précaire légèreté
Les yeux écarquillés et la poitrine bien plaquée
elle continuait de compter
Les miettes gisant sous la table de la salle à manger
En espérant que du secours
On allait lui apporter
Je ne cesse d'être épaté par l'évolution des technologies. Celle-ci n'y fait pas exception.
Le New York Times publiait un reportage ce mois-ci sur des imprimantes 3D qui conçoivent des objets. Les multiples utilisations de ces imprimantes vont de la construction d'objets-maquettes 3D pour présentation à un client, jusqu'à la confection de prothèses sur mesure.
Merci Martin pour cette trouvaille.
Depuis maintenant la fin des années 70, Pat Metheny caressait le rêve de réinventer, à une échelle orchestrale, le principe des instruments qui jouent seuls, sans l’intervention d’un musicien. Il a fait appel à sa vision, à des inventeurs et spécialistes des technologies pour mettre au monde « l’orchestrion ».
Pat Metheny sur scène, sa guitare en main, est le chef d’orchestre de ce nouvel instrument aux multiples tentacules. Les indications musicales passent par sa guitare, qui envoie une information, une note, à des programmes qui déclenchent à leur tour, les mécanismes associés aux différents instruments et leur dispositif de jeu.
Une image vaut mille mots
Une somptueuse demeure au cœur de Milan
Une richissime famille italienne
Un père
Une mère
Leurs trois enfants
Aux prises avec des visions dichotomiques de leurs futurs
Des secrets, des regards, des non-dits et des plats exquis
Les Italiens, ça joue dur… à la vie, à la mort
Magnifico !
Il y avait longtemps que le cinéma ne m’avait pas cloué ainsi à mon siège
Ce fut un vendredi sous le signe de la musique.
En première partie, l’exposition We want Miles au Musée des Beaux-Arts de Montréal. J’y ai passé 2 heures 30, c’est dire comment passionnant ce fut. Tout d’abord une visite avec une musicologue. Elle nous raconte l’histoire de Miles Davis à travers l’évolution des différents types de jazz. Du middle-jazz au jazz funk en passant par le cool jazz dont Miles Davis est le père. On nous y explique le rôle que joue chacune des 3 composantes musicales (rythme, harmonie et mélodie) dans chacun des styles de jazz.
Jusqu'au 29 août prochain. Vous ne pouvez pas vous y pointer ? Voici des extraits en rafale...
En deuxième partie de cette soirée de vendredi, le concert surprise du festival de jazz.
En bref, un spectacle parfait pour la scène extérieure, une explosion jazz aux accents d’aujourd’hui. Ils seront au festival d’été de Québec et au festival de blues d’Ottawa. Si vous avez la chance, ne les manquez pas.
This song just keeps getting under my skin each time I turn it on
Australian group I discovered a few months ago.
And what better opportunity to put it online : the release of their new album on March 30th
http://www.myspace.com/angusandjuliastone
Je m'excuse à l'avance pour mes lecteurs francophones...
Mais les lecteurs internationaux se multiplient... Et qui dit exportation, dit quelques clins d'oeils anglophones :o)