samedi 18 juillet 2009

Au clair de la lune

Je suis tombée sur un article intéressant de Paul Cauchon ce matin concernant les premiers pas de l’homme sur la lune il y a 40 ans, mais vécu de l’intérieur par les astronautes et l’équipe technique terrestre qui les soutenait.

À la manière des petits livres
« Saviez-vous que ? », en voici les grandes lignes :

- le voyage d’Appolo 11 était considéré tellement risqué qu'avant même le lancement de la navette, un discours funèbre en hommage aux astronautes avait été rédigé par William Safire, journaliste et rédacteur de discours pour le président Nixon.

- Armstrong et Aldrin ont constaté une fois sur la Lune qu'un interrupteur de mise à feu essentiel, qui commandait les moteurs du LEM, avait été brisé pendant qu'ils bougeaient dans la capsule avec leurs scaphandres. Aldrin a alors eu l'idée de se servir d'un stylo comme interrupteur de fortune...

- Armstrong évaluait ses chances de se poser sur la lune à seulement 50%

- Lors de la descente du module lunaire vers la Lune, les voyants d'alerte des ordinateurs de bord se sont allumés. Dans un tel cas, la procédure exigeait d'annuler la mission. Les astronautes ont décidé de passer outre cette consigne. Ce n’était en fait que l’ordinateur qui surchauffait

- La descente du module se faisait en pilotage automatique. Mais quand Armstrong s’est rendu compte que la navette se dirigeait droit sur un site rempli de rochers, il a débranché le pilotage automatique et a piloté manuellement le module en cherchant un terrain plat. Lorsqu’il a finalement trouvé un endroit où se poser, il restait moins de 30 secondes de carburant. Il paraîtrait que les battements de cœur d’Armstrong avait alors atteint 150 battements minute.

vendredi 17 juillet 2009

Propagande médiatique

Qu’on en commun Étienne Decroux et Quincy Jones ? Michael Jackson. Le premier ayant inventé le moonwalk et été le « maître à mimer » du célébre québécois Marcel Marceau. Quant à lui, Quincy Jones, trompettiste et jazzman de génie, est également l’homme derrière « Off the wall », premier grand succès de Jackson, mais également « Thriller » et « Bad » pour n’en nommer que quelques-uns. En fait, Quincy Jones est derrière tout ce que Michael Jackson a fait de bon dans sa carrière. Malheur lui soit fait, le jour où le petit prince (comme l’appelle affectueusement Gil Courtemanche) a cru qu’il pouvait être plus grand que ses maîtres créateurs, il les a quittés. Résultat : rien de réellement valable n’en est sorti en terme musical. Comment manipuler l’opinion publique par les médias ? L’exemple parfait. En fait, Edward Bernays, auteur de Propaganda, aurait fort bien pu en faire un exemple culturel édifiant. Le seul conseil que je puisse vous donner. Lisez, lisez et relisez… il ne faut pas toujours croire ce que les médias nous régurgitent.

lundi 13 juillet 2009

Mark Raven, Amsterdam



Très peu de mon voyage, je vous ai parlé. Avec raison. Le retour à la réalité, la routine du travail excessif qui s’incruste à nouveau dans mes habitudes de vie. Que reste-t-il de nos amours, que reste-t-il de ces beaux jours, une photo, vieille photo…disait Charles Trenet. Je me posais cette question. Que reste-t-il de ce court moment de répit que je me suis gracieusement octroyé. Quelques moments, mais aussi la découverte de l’artiste néerlandais Mark Raven. Très touristique me direz-vous ? J’en conviens. Mais j’ai tant apprécié l’énergie qui régnait sur Amsterdam que même cette approche minimaliste et colorée me plaît. Et vous qu’en pensez-vous ?