Mais on opte pour une alternative issue des mœurs brésiliennes. On lui envoie notre plus beau "thumbs up" et tout bêtement, il se métamorphose en chauffeur-peluche.
jeudi 14 avril 2011
Chronique brésilienne
Mais on opte pour une alternative issue des mœurs brésiliennes. On lui envoie notre plus beau "thumbs up" et tout bêtement, il se métamorphose en chauffeur-peluche.
lundi 4 avril 2011
Par un après-midi ensoleillé
jeudi 31 mars 2011
Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin

Sur recommandation d’un ami, j’ai ajouté à mes modestes rayons littéraires une œuvre de Kafka, souvent oubliée, négligée, ou tout simplement non-citée lorsque vient le temps d’aborder le grand Franz sur les bancs d’école. Pourquoi ? Probablement parce qu’il appartient à cette catégorie de livres qualifiée de recueil, de compilation, pour dire plus contemporain et juvénile. Des écrits inspirés et issus de sombres moments d’illuminations qui à la manière des idées qui frappent notre esprit de manière brève et précise, se doivent d’être mises sur papier au moment où elles émergent… car il est fort à parier qu’elles ne rejailliront pas. Des étoiles filantes.
C’est donc à la lecture de pages étoilées que Kafka nous convie. De courts textes, pas plus de quelques lignes, des pensées qui ressemblent à des pierres que l’on poserait au sol pour tracer son chemin, ou le retrouver si l’on s’en écarte. Les pages invitent à une lecture parcimonieuse, à petites doses, suscitant plutôt la retenue contemplative que la gourmandise. Il m’est arrivée à plusieurs reprises de volontairement laissé passer quelques wagons de métro au temps où je lisais ce livre, simplement pour accueillir la réflexion, la laisser prendre toute la place, intellectuellement et physiquement, dans l’immobilité.
Remercions son ami et éditeur Max Brod d’avoir fait fi des dernières instructions de Kafka, qui avait explicitement demandé à ce que tous ses écrits non-publiés (notamment ceux-ci) ne le soient jamais. Il ne voulait pas en faire offrande à la littérature, voulait qu’ils soient brûlés. Pour ceux qui l’ignoreraient, Kafka était un homme complexe qui jetait un regard plus que sévère sur son œuvre. Difficile pour nous aujourd’hui de le comprendre tant il est une figure marquante de la littérature. Et c’est tout justement sur cet angle que la préface porte un regard.
« Le grand théâtre Kafka, le succès de sa littérature n’existerait pas sans ses sombres coulisses, tous ces petits cahiers où l’homme aux yeux profonds, avec les moyens du bord, trois fois rien, lui-même, bricolait chaque jour ces étonnantes créatures qu’il allait lancer sur la piste, en pleine lumière. C’est là qu’il reste, lui, avec ses grands tourments d’âme dans sa pénombre; il y règne, seul à jamais. Ne faisons pas mine de le comprendre. Nous, le néant n’est pas notre élément. Tâchons déjà de le lire, avec admiration et gratitude. »
C'est donc ce que j'ai fait avec humilité
dimanche 20 mars 2011
Comic Life


samedi 19 mars 2011
Un loup aux mille facettes

dimanche 6 mars 2011
Autarky is dead
But it's now impossible if you want to actually get anything done.
All our productivity, leverage and insight comes from being part of a community.
Not apart from it.
The goal is to figure out how to become more dependent, not less "
dimanche 27 février 2011
Diego Piccinni da Todi & Sylvain Bouthillette

jeudi 17 février 2011
Kali Yuga, l'âge de fer
Selon la cosmogonie hindoue, nous vivons actuellement dans le quatrième et dernier âge du cycle des Yugas. L’espace-temps le plus court, qui contrairement aux 3 Yugas précédents se définit par une souffrance incessante où l’on assiste à l’émergence de tous les vices et à la dégénérescence spirituelle.
Plus aucune attention n'est portée au dharma.
Des 4 piliers qui normalement le soutiennent, il n'en subsiste qu'un : la vérité
Elle se tient là, béate devant nous, sans espoir de fuite ou de métamorphose, portée au grand jour dans toute sa laideur.
Nous vivons dans le Kali Yuga, l'âge de fer, celui qui s'effrite de tout son sens, qui n'a plus l'essence pour recouvrir les plaies ouvertes.
J’ai eu la chance d’assister à un magnifique satsang samedi soir dernier, dans le décor pur et paisible de l’ashram de Val-David.
Pourquoi chantons-nous à l’occasion d’un satsang ?
C'est la tradition. On chante, car on croit.
Mais qu'arrive-t-il lorsque les mots n'ont aucune signification pour nous ?
Qu'il s'agisse de la barrière linguistique ou du doute face à ces croyances, à cette philosophie ?
Pourquoi les chantons-nous tout de même avec autant de conviction ?
Simplement parce que ces mots, que nous entonnons avec un peu plus d'ardeur à chaque refrain qui inlassablement se répète, c'est une énergie brute, notre énergie, notre voix qui fonce de plein fouet dans la résistance de ce monde.
dimanche 6 février 2011
Sur l'écriture
lundi 31 janvier 2011
Club Social

vendredi 14 janvier 2011
The Domino Project
mercredi 12 janvier 2011
Carnaval déluré
Tous des Monstres from Tous Des Monstres on Vimeo.
lundi 27 décembre 2010
2010

Ce fut un trompe-l’oeil
Un canular
Que dis-je…
Un poisson d’avril
En d’autres mots, une année riche en rebondissements
De grandes promesses
De modestes résultats
De grandes joies l’espace d’un instant
D’incalculables pertes
Mais aussi d’inestimables moments de plénitude
Captés sur le vif
Aux 4 coins du monde
Quelques images pour ne pas oublier
Et quelques mots d’ordre pour l’année à venir
Longévité & Libération
Bonne Année chers lecteurs
jeudi 9 décembre 2010
Court métrage d'exception
mercredi 8 décembre 2010
Create an effect by making it just slightly bigger

lundi 6 décembre 2010
Une nouvelle forme de vie

Grande annonce de la NASA jeudi dernier à 14h00.
On a découvert une bactérie baptisée « GFAJ-1 » dans le lac Mono en Californie. Une bactérie complètement différente de celles qu’on retrouve sur la terre. Elle est capable d’utiliser l’arsenic pour construire son ADN, ses cellules et ses protéines. Un grand changement dans notre façon de définir la vie. Les êtres vivants sur terre se composent de carbone, d’hydrogène, d’azote, d’oxygène, de phosphore ou de soufre. L’arsenic n’est faisait certainement pas partie, étant plutôt un poison pour toutes les formes de vie sur terre.
La NASA qualifie cette bactérie « d’étrangère », ce qui en fait une réprésentation de la vie jusqu’à là inconnue.
Grande découverte ? Fort probablement… à suivre
vendredi 22 octobre 2010
Montreal, une ville de création
Musée des possibles from missmoun on Vimeo.
L'université populaire à Montréal

Bango et son blog
Depuis que Sébastien nous l'a dévoilé à travers son blogue, j'ai mis la main sur une foule de trucs intéressants. Merci :o)



L'incident
Sur la pointe des pieds
Bras dessus bras dessous avec son mobilier
Le filou avait filé
Hors-d’œuvres et canapés au plancher
L’air un peu décontenancé
Le cœur artichaudé
C’est la tête au parquet qu’elle s’était retrouvée
À la recherche du temps perdu
Des précieuses secondes soudainement disparues
Elle écoutait le tic-tac
De l’heure qui n’en finissait plus
L’âme échaudée par l’idée d’une incision sollicitée
Elle avait trouvé sa tasse de thé
À présent à moitié déversée
sur ce qu’il restait d’un repas bien arrosé
Le corps concassé, victime de sa précaire légèreté
Les yeux écarquillés et la poitrine bien plaquée
elle continuait de compter
Les miettes gisant sous la table de la salle à manger
En espérant que du secours
On allait lui apporter