dimanche 25 octobre 2009

L’univers de Boris Vian vous manque ?

N’allez pas croire à la résurrection de Boris Vian. C’est simplement qu’en lisant le Devoir ce weekend, on y parlait d’une auteure française en lisse pour le prix Goncourt : Véronique Ovaldé. En rien n’est-elle une des favorites pour remporter ce prestigieux prix, mais à la sortie de son dernier roman Et mon cœur transparent, Le Monde disait : « Dépaysement à tous les carrefours, trompe-l’œil et voyage enchanté dans un imaginaire aussi malicieux par ses images que par son verbe : Véronique Ovaldé occupe une place bien à elle dans la littérature française, où elle s’est assise d’une fesse sur le siège demeuré inoccupé de Boris Vian ».

Et maintenant pour l’auteur islandais, Sjon.
À la lecture du résumé de son livre La paupière de mon père, l’enfant en moi a été instantanément charmé.

Je n’ai pas encore eu la chance de m’attaquer à l’un ou l’autre.
Il s’agit donc de suggestions à tout hasard.

3 commentaires:

  1. Merci, il me manquait justement quelques références de lecture afin de m'empiffrer l'intellect.

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  2. Allo !
    Sjon, "Sur la paupière de mon père"... Je n'ai pas aimé. Trop éclaté, décousu comme la poussière d'un feu de joie, explosé et emporté par le vent.
    Mais après Saramago, Bukowski et Larsson... comment t'en vouloir. Je reviens après la lecture de Mme. Ovaldé.
    Ciao

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  3. Rebonjour aux quelques rares qui, comme moi, attendent impatiemment la suite du prologue sur le souffle retenu.
    Bon.
    Revenons-en à nos moutons, Véronique Ovaldé : "Et mon coeur transparent":
    C'est bien mieux que Sjon. Pas encore au niveau de Vian. Mais ! Si je ne m'étais pas endormi sur des bouts je dirais qu'il n'y a pas de longueur ou que je ne manque pas de sommeil; c'est selon. Sinon bref, c'est bon et même frais. Frais pour une canicule, mais pas trop car avec un manque de sommeil et 2 pintes de sangria... tu dors quand même. Bon, merci ! Même si j'envoie ça dans l'univers des incompris et des non lus (à défaut des non-dits) B-)

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