mercredi 30 décembre 2009

Je vous évite les palmarès que les revues et journaux culturels vous servent depuis quelques semaines, mais je ne pouvais passer sous silence un disque que j’ai écouté et ré-écouté en 2009.

Une langue simple mais ô combien poétique.

Une langue bien de chez-nous qui rappelle les classiques intemporels de Dédé Fortin.

Une musique si envahissante qu’on en oublie le monde qui nous entoure…

Il faut entendre la complainte du violoncelle sur la pièce « J’aime pas ça quand tu pleures » et l’harmonica présente sur presque toutes les pièces, mais qui nous prend droit au cœur et au corps sur la pièce « Sur tes seins »

Si vous n’avez pas déjà cet album en votre possession, courez vous le procurer.
Moon Grill de Martin Léon

Moments sublimes garantis

2 commentaires:

  1. Ce fût également une révélation pour moi cette année. Très heureux qu'il est eu un tel impact, une telle répercussion sur toi. Lorsqu'on écoute cet enregistrement dans nos écouteurs, le monde devient soudainement moins grave. On s'enrichit. Nos pieds collent au bitume, à la terre à Terre. Humblement, on se retrouve en studio avec lui. On peut se permettre d'assister à l'enregistrement avec lui, avec ses amis. D'applaudir en silence avec nos yeux. Autour de nous, tout devient humain. Prends un sens. On se dit que c'est ça la chanson, la vérité. Et on ré-écoute ce petit bijou en souhaitant que nos communs puisse y attraper un bon sens de mesure. Bravo Martin.

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  2. Je n'aurais pas pu mieux dire :o)
    Merci pour tes mots et ta plume

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