Je vous évite les palmarès que les revues et journaux culturels vous servent depuis quelques semaines, mais je ne pouvais passer sous silence un disque que j’ai écouté et ré-écouté en 2009.
Une langue simple mais ô combien poétique.
Une langue bien de chez-nous qui rappelle les classiques intemporels de Dédé Fortin.
Une musique si envahissante qu’on en oublie le monde qui nous entoure…
Il faut entendre la complainte du violoncelle sur la pièce « J’aime pas ça quand tu pleures » et l’harmonica présente sur presque toutes les pièces, mais qui nous prend droit au cœur et au corps sur la pièce « Sur tes seins »
Si vous n’avez pas déjà cet album en votre possession, courez vous le procurer.
Moon Grill de Martin Léon
Moments sublimes garantis
Une langue simple mais ô combien poétique.
Une langue bien de chez-nous qui rappelle les classiques intemporels de Dédé Fortin.
Une musique si envahissante qu’on en oublie le monde qui nous entoure…
Il faut entendre la complainte du violoncelle sur la pièce « J’aime pas ça quand tu pleures » et l’harmonica présente sur presque toutes les pièces, mais qui nous prend droit au cœur et au corps sur la pièce « Sur tes seins »
Si vous n’avez pas déjà cet album en votre possession, courez vous le procurer.
Moon Grill de Martin Léon
Moments sublimes garantis